Aux N°45 et 47 de la place du marché est installée l'agence de la banque "SOCIÉTÉ GÉNÉRALE".
C'est en 1864 que la "SOCIÉTÉ GÉNÉRALE" sera créée par un groupe d'industriels et de financiers suite à un décret signé par Napoléon III pour favoriser le développement du commerce et de l'industrie en France.
Agences des années 1970 à 2000
Photo de 2009
Pour tous renseignements s'adresser au :
Tel : 01.64.98.81.03
Fax : 01.64.98.72.29
Site internet : https://particuliers.societegenerale.fr/
Code banque : 30003
Code Guichet : 00845
Horaires d'ouverture :
Mardi 8h40 à 12h35 et de 14h00 à 17h40
Jeudi 8h40 à 12h35 et de 14h00 à 17h40
Vendredi 8h40 à 12h35 et de 14h00 à 17h40
Samedi 8h40 à 12h35 et de 14h00 à 16h15
Retrait CB 24H/24H
C'est donc en 1999/2000 que l'agence de la "SOCIÉTÉ GÉNÉRALE" a succédé au tapissier et décorateur Michel CHOUARD qui avait nommé son commerce "AUX ÉPOQUES".
Photo de 2005
Photo de 2000
Photographie de l'APAM des années 1990
Photographie de 1992
Photographie de l'APAM de 1984
Michel CHOUARD a transféré son commerce "AUX EPOQUES" du N°32 de la rue Jean Cocteau au N°45-47 de la place du marché vers la fin des années 1970. Il a succédé à Georges POTERAT qui tenait le magasin "AUX BONNES AFFAIRES" aussi appelé par les milliacois "chez JOJO la brocante".
Publicité et photographie de 1973
Photographie des années 1970
Entre les années 1920 et le début des années 1970, ce commerce était une quincaillerie. Elle fût tenue par Eugène LIARD, puis Léon BARD au cours des années 1920, Charles GEOFFROY et son épouse Yvette LECARELLI au cours des années 1930, Monsieur LEBRUN, puis Monsieur BRETON dans les années 1950, Monsieur MERESSE dans les années 1960 et enfin Monsieur H. LAFORME jusqu'au début des années 1970.
C'est donc Eugène LIARD qui a agrandi son commerce du N°47 place du marché entre 1912 et 1917 en rachetant le N° 45 qui était tenu par le bourrelier (*) Victor LEGENDRE. Celui-ci a transféré son fond de commerce au N°35 de la place du marché, actuellement occupé par MILLYMENTHE.
Publicité de 1970
Publicité de 1967
Détail carte Postales des années 60
Détail d'une Carte Postale des années 1950
Détail d'une autre carte des années 1950
Article paru en 1938 dans l'Abeille d’Étampes
Publicité de 1922
Photo de 1913 - La quincaillerie Eugéne LIARD était,
à l'époque, une des trois quincaillerie de Milly.
Sur cette photo, on peut y observer des outillages dans la vitrine
de gauche avec vilebrequins, clés de serrage, scies,
et dans la vitrine de droite des ustensiles domestiques
comme des brocs, casseroles et pots de chambre
Photo de 1913 - La quincaillerie Eugéne LIARD était,
à l'époque, une des trois quincaillerie de Milly.
Sur cette photo, on peut y observer des outillages dans la vitrine
de gauche avec vilebrequins, clés de serrage, scies,
et dans la vitrine de droite des ustensiles domestiques
comme des brocs, casseroles et pots de chambre
Article paru dans l'Abeille d’Étampes 1e 19 Mai 1908
Détail d'une Carte Postale avec la Cavalcade de 1907
Détail d'une Carte Postale - Cavalcade Historique de 1907
Détail d'une autre Carte Postale avec la Cavalcade de 1907
Détail d'une Carte Postale de 1905
Détail d'une autre Carte Postale de 1905
Détail d'une Carte Postale
Place du marché avec Société de Gymnastique - 1897
Éditeur : Librairie Vve Hamelin
Annonce du mariage entre le Quincailler
Eugène LIARD et Marie-Jeanne-Mathilde DAGES
Place du marché avec Société de Gymnastique - 1897
Éditeur : Librairie Vve Hamelin
Annonce du mariage entre le Quincailler
Eugène LIARD et Marie-Jeanne-Mathilde DAGES
Au N°47 Eugène LIARD et son épouse Mathilde DAGES ont succédé, en 1895, à Emile-Felix THALBOT et son épouse Eugénie FARNAULT quincailliers et marchands de fers. Entre 1861 et 1876 ce sont les marchands de fers Jean Baptiste DENIS et son épouse Elvire BRAUDIN qui tenaient ce commerce. Ils ont succédé à Louis-Jules BRAILLE et son épouse Thérèse BERTHEAUX. De 1836 à 1846 ce sont les marchands de fers Louis HERBELOT et Françoise LEROY qui exerçaient à cet emplacement.
Annonce du décès d'Emile-Félix THALBOT
dans un article de l'Abeille d’Étampes
Au N°45 le bourrelier - sellier (*) Victor LEGENDRE et son épouse Marie BARDILLON ont succédé à Paul MONTIGNY et son épouse Berthe GADET vers 1901. Paul MONTIGNY avait apris le métier avec son père Thomas MONTIGNY et lui a succédé en 1891. Thomas MONTIGNY et son épouse Lucile PREVOST ont déménagé à cette adresse entre 1861 et 1866. Auparavant, leur Sellerie Bourellerie se trouvait au N°53 de la place marché. D'après nos recherches, avant 1866, cet emplacement était occupé soit par le voisin du N°47 Marchand de fers, soit par le cordier Jean Abraham SAUVE avec son épouse Marie-Anne HAVARD et leur fils Etienne qui sont référencés au N°43 entre 1846 et 1861 avant de déménager pour le N°33 de la place du marché.
Cavalcade de 1907 - Détail d'une Carte Photo
avec au N°45 le bourrelier - sellier Victor LEGENDRE
(*) Bourrelier : Celui qui fabrique les harnais (ensemble complexe destiné notamment à harnacher les animaux de trait ; une des pièces principale : le collier matelassé) avec pour matière première, du cuir de vache ou de bœuf, de la toile à embourrure, du crin, du fil « poissé », mais aussi du bois et des pièces métalliques.
Le métier de bourrelier est très ancien. Il serait apparu en France au IVème siècle. En 1268, les statuts de la corporation indiquent qu'ils sont "faiseurs de colliers à cheval et de dossières de selle et de tout autre manière de bourrellerie". A partir de 1400, chaque apprenti peut devenir maître après avoir accompli son chef-d'oeuvre, en l'occurence un harnais complet. Plus tard, la corporation se divisa en bourrelier (dans les campagnes) et sellier (plus citadin).
Avec l'apparition des machines, les chevaux ont disparus de nos campagnes et, avec eux, le bourrelier s'est éteint. Aujourd'hui, le métier ne subsiste plus que pour les chevaux de monte.
Outils-instruments : outils de traçage (compas) ; de découpe (différents couteaux à pieds ou pour découper des bandes de cuir de largeur constante, emporte-pièces, abat-cars pour chanfreiner les angles du cuir) ; de perçage (alênes, pinces emporte-pièces, machine à coudre très spécifique) ; de serrage (grande pince en bois pour immobiliser la pièce de cuir à travailler, pinces à tirer le cuir, ) ; outils divers (formoirs - accessoires en bois pour lisser les coutures, passe-ficelle, …)
Je vous invite à visiter le site, en cliquant sur le lien suivant,
"LES ANCIENS MÉTIERS avec leurs OUTILS"
Nous sommes à la recherche de tous nouveaux documents, Publicités, Photos, Cartes Postales, factures, vieux papiers se rapportant de près ou de loin aux commerces de Milly-la-Forêt.
Contact : Bruno DEROUIN
Tel : 06 10 54 22 85
E-mail : derouin.bruno@yahoo.com
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