samedi 24 septembre 2011

N°32 - RUE GRANDE - CHEZ MARCUS - RESTAURANT PIZZERIA

Situé au N°32 de la rue Grande, "CHEZ MARCUS" est un Restaurant-Pizzeria qui a ouvert ses portes début septembre 2011. Vous pourrez y découvrir toute la saveur de leurs pizzas artisanales et des "petits plats maison". Ce restaurant-pizzeria vous accueille du mercredi midi au lundi soir (Fermeture le mardi)
Les pizzas... mais aussi plats du jour, pâtes, salades, desserts et boissons, sont également à emporter ou livrés à votre bureau ou à votre domicile .




N'hésitez pas à visiter le site internet de "CHEZ MARCUS". Vous y trouverez le menu du jour, y consulter la carte et les formules proposées. http://chezmarcus.blogspot.com/

Pour toutes vos commandes ou réservations : 01 64 85 69 31 ou 06 75 10 45 98


Bulletin Municipal de décembre 2014
Papilles d'Or 2015

Article Bulletin d'octobre 2011


"CHEZ MARCUS" a succédé à "MILLY PIZZA" et à "SHOW KEBAB".
 
Photo de 2009

Photo de 2005
  
Le premier restaurant à s'être installé à cette adresse est "PIZZERIA DON CAMILLO" vers la fin des années 90. Ce restaurant s'est ensuite installé au N°37 de la Rue Grande à la place de l'assureur "MILLY ASSURANCE" vers 2005.
 

   

Avant de devenir un restaurant, cet emplacement était occupé par la charcuterie d'Henri LEROY qu'il tenait avec sa maman. Les anciens milliacois se souviennent tous du jambon et des pâtés préparés par Riton !
Il a succédé à son père Paul LEROY marié avec Madeleine DUCHESNE, fille de l'ancien propriétaire.

Pub des années 60

Photo des années 50

Photo des années 20 

C'est donc vers 1926 que le charcutier Paul LEROY et son épouse Madeleine DUCHESNE reprendront la charcuterie des parents de Madeleine,  Henri DUCHESNE et Berthe GIRAULT.

Pub de 1909

Très belle photo de la Rue Grande en travaux au début des années 1900
Il est possible d'apercevoir les charcutiers DUCHESNE
derrière l'ouvrier qui tient le balai.

Henri DUCHESNE a succédé aux charcutiers Alex SURUGUES et son épouse Camille DESAVOUE entre 1896 et 1900. Entre 1872 et 1891, ce sont les charcutiers Eugène DEMIGNY et son épouse Alphonsine HOURY qui y ont été recensé, alors qu'entre 1846 et 1866 cette charcuterie est tenue par Pierre CHEVAL et son épouse Marie CHARPENTIER.


Nous sommes à la recherche de tous nouveaux documents, Publicités, Photos, Cartes Postales, factures, vieux papiers se rapportant de près ou de loin aux commerces de Milly-la-Forêt.


Bruno DEROUIN au 06 10 54 22 85
E-mail : derouin.bruno@yahoo.com

vendredi 23 septembre 2011

N°42 - RUE JEAN COCTEAU - CENTRE D'IMAGERIE MEDICALE


Le "CENTRE D'IMAGERIE MÉDICALE" de Milly-la-Forêt est installé au N°42 rue Jean Cocteau depuis le début des années 1990.  Ce centre de radiologie et d'échographie très apprécié des Milliacois et de ses environs a été créé par Marc LEVAILLANT. Cette proximité permet aux milliacois à mobilité réduite d'y accéder facilement et de ne plus avoir à se déplacer sur Fontainebleau ou Evry-Corbeil.


Pour tous renseignements s'adresser au :
Tel : 01 64 98 89 89
Fax 01 64 98 77 42

Photo de 2007

C'est donc vers 1990 que Marc LEVAILLANT s'est installé dans les locaux de l'ancien Bar - Cinéma "LA RENAISSANCE" tenu par la famille CHOISEL. Tous les jeunes Milliacois de ma génération y avons joué de nombreuses parties de billard et passé des soirées mémorables. En 1988, nous avons assisté à la dernière séance de notre cinéma Milliacois avec beaucoup de nostalgie et d'amertume ! 

Photographie de la caisse qui se trouvait dans le couloir
d'accès à la salle prise en 1988 par Maurice GELBARD

Photographie de la salle avec Pierrot prise par Maurice GELBARD en 1988

Photographie de la salle de projection

Photographie de 1988


 
Article publié dans le "TOUSSONNAIS déchaîné" N°125 
de Septembre 2011. Les photos datent de février 1985 
pour  la Première de "L’AMOUR BRAQUE" de Andrzej Zulawski 
Un grand merci à Pierrot de la tête des trains pour ce superbe article !

Photographie de l'APAM de 1986

Photographie de l'APAM de 1984

Ciné Club

Photographie de Pierrot CHOISEL devant son Bar
lors du premier marché médiéval de l'APAM de 1979

Réunion de famille dans la salle du bar en 1972

Publicité de 1960

Détail d'une Carte Postale Rameau des années 1950


Publicité de 1950

le Bar / Cinéma "LA RENAISSANCE" a été dirigé par les parents de Mme CHOISEL, Roland et Simone LAMBERT de 1953 aux années 1970. Avant 1953, Roland tenait le bar épicerie situé au N°11 de la rue saint Jacques. Lien pour visite du N°11 de la rue St Jacques 

Article du Bulletin Municipal édité pour les 
100 ans de Roland LAMBERT en Mars 2012

Article paru dans l'Abeille d’Étampes de 1940

Photographie des années 1940

Publicité de 1938

De 1926 aux années 1940, le "CAFÉ DE LA RENAISSANCE" est tenu par les grands-parents de Jacky FOURNILLON, Auguste FOURNILLON et son épouse Isabelle THIERRY avec leurs 2 filles Ginette et Jacqueline.

Photographie de la Grand -mère FOURNILLON avec Ginette 
et Jacqueline devant leur "CAFÉ DE LA RENAISSANCE"
ainsi que le couple BOISSIERE en 1937

La famille FOURNILLON devant leur café vers 1935


Publicité de 1934

Photographie des années 1930


Acte notarié de 1933 suite au décès d'Auguste FOURNILLON ,
Isabelle THIERRY Vve FOURNILLON opte pour la conservation
du fonds de commerce "CAFÉ DE LA RENAISSANCE"


Photographie des années 1930
Famille FOURNILLON devant leur café



Photographie des familles FOREST et FOURNILLON du 31 Août 1930 
prise lors de la fête de l'Aviation de Milly 
Dans cette article, il est précisé qu'un bal de l'Aviation 
s'est déroulé dans les salons de la Renaissance.

Épicerie BROCHARD et le CAFÉ DE LA RENAISSANCE vers 1930

Texte publié par l'Abeille
d’Étampes en 1927

Fête de la Commune libre de 1925
Avec la présence de Piou Piou sur son cheval

En 1922 le "CAFÉ DE LA RENAISSANCE" est tenu par Monsieur et Madame FRANCOIS. Ils ont succédé à Eugène et Hélène RAMOND.

Texte édité par l'Abeille d’Étampes en 1922

Comme l'acte notarié ci-après l'atteste, le fonds de commerce "LE CAFÉ DE LA RENAISSANCE" a été vendu en 1919 par Abel LARPENT à Jules-Eugène RAMOND

Dans cet article de 1921, il est intéressant de lire
 qu'un film "POPAUL ET VIRGINIE" a été tourné
 en 1919 sur la place du marché et sous la halle de Milly 

Acte notarié du 7 juin 1919

Voici la transcription de l'article publié dans L’abeille d’Étampes le 23 Mars 1918 pour
 L’INAUGURATION DU THÉÂTRE DE LA RENAISSANCE A MILLY

Depuis la formation du centre d’instruction de Milly, la salle de théâtre de la Renaissance était affectée au cantonnement des troupes. Les nombreux poilus qui s’y sont succèdés depuis bientôt trois ans y ont laissé de nombreuses marques de leur passage, aussi la tâche parut irréalisable lorsque le sympathique colonel Leduc résolut de transformer ce cantonnement en salle de réunion. Il s’agissait d’en faire le Foyer du Soldat, le lien où les hommes des différentes armes stationnant à Milly pourraient se distraire, lire et faire leur correspondance.

Cependant, le commandant du centre d’instruction n’hésita pas ; utilisant à propos les bonnes volontés dont il est entouré, il sut faire « renaître » la salle de la Renaissance, la restaurer, l’aménager, la transformer fort joliment et même l’agrandir par la construction d’une tribune. Aujourd'hui, elle répond convenablement aux besoins de sa nouvelle destination.

Tout étant à point, des invitations furent lancées et la fête d’inauguration avait lieu le 14 Mars à 20 heures, sous la présidence du colonel Leduc, lequel avait conçu et réalisé un programme des mieux composés.

C’est devant une salle comble d’invités que se leva le rideau. L’ouverture de la première partie se fit par la « Marche des Zouaves » et la « Marche Lorraine » exécutées sous l’habile direction de M.Simon par un orchestre symphonique de 20 musiciens. Au cours de la soirée, cette phalange musicale exécuta non moins brillamment une valse de Krier ; « Salut au printemps » de Barbet ; la Marche de Sidi-Brahim ; une polka de concert d’Hovelacque et « Grenada » de Garcia. La partie chant fut parfaitement rendue par MM. Klein, du 4ème zouaves, qui chanta « Le drapeau » ; Hochereau, du 23ème colonial, « Hardi les Gars » ; « J’adore les brunes », par M.Delaplanche, du 1er zouaves. M.Lautreix, du 4ème zouaves, ne fut pas moins applaudi pour « l'Enigmatique ».

« Enfin j’ai une auto », « Chanson sabire », « Lui non plus », « J’ai repris mes sens », etc., furent pour leur interprète, M.Cantella, du 1er zouaves, l’occasion de nombreux bravos et rappels.

L’originalité des fables de la Fontaine (en sabir) dites par M.Gauthier, du 23ème colonial, amusa beaucoup.

Les applaudissements ne furent pas non plus ménagés à M.Tardieu, du 4ème zouaves, quand, costumé en dame, il interpréta « Maman la Bataille » ; ce fut pour lui une ample moisson de bravos, lorsqu’en son costume féminin, drapé du drapeau tricolore, de sa belle voix, juste et vibrante, il entonna la « Marseillaise ».

« Le Rêve passe » (trio vocal et orchestre) fut un éclatant succès pour M.Margant, du 26ème chasseurs, Delaplanche, du 1er zouaves et Henri Klein, du 4ème zouaves.

Un numéro sensationnel fut « Verdun », M.Margant, du 26ème chasseurs, qui le chanta, fut l’objet d’unanimes bravos, applaudissements et rappels.

Une petite et intéressante séance de prestidigitation divertit quelques instants l’auditoire.

Doué d’une belle direction et remarquable diseur, M.Orande, qui récita le « Zéphir » de Zamacois, fut attentivement écouté et applaudit ; c’était justice.

La partie musicale impeccablement rendue par l’orchestre fut un vrai régal pour les amateurs de belle musique. On entendit un solo de violoncelle « Méditation » de Papin, par M. Lievens, du 26ème chasseurs, 1er prix du Conservatoire de Paris ; un solo de violons « Czardas » de Monti, par M. Pain, 1er prix du Conservatoire de Paris. L’ouverture de « Poète et Paysan » de Suppé, par le sous-lieutenant Renoux, du 1er zouaves, Pain et Lieviens, du 26ème chasseurs, tous trois premiers prix du Conservatoire de Paris, ainsi que « Le déluge » de C. Saint-Saëns, trio, piano, violon et violoncelle.

On applaudit, sans réserve, la maîtrise de l’archet des artistes sous l’impulsion desquels violon et violoncelle chantaient tantôt avec force et brio, tantôt avec une délicieuse langueur. Le sous-lieutenant André Renoux, 1er prix d’orgues du Conservatoire de Paris, pianiste de haute valeur, qui, sans une minute de répit, tient toute la soirée le piano d’accompagnement, mérite les plus sincères félicitations.

La première partie se termina par « La Guerre en Pantoufles », charmant vaudeville de Galipaux, fort bien interprété et parfaitement rendu par M.Delaplanche, du 1er zouaves et « Mademoiselle » Tardieux du 4ème zouaves. Cette amusante saynette est encore trop peut-être d’actualité, malgré l’active chasse faite aux embusqués. A la suite de cette amusante saynette, M. le colonel Leduc adressa à ses nombreux invités, une allocution charmante empreinte de fine bonhomie. Il dit les efforts qu’il avait dû faire et les difficultés qu’il avait eu à surmonter pour amener son œuvre à bonne fin ; les résultats qu’il attendait de la réunion, dans cette salle, des jeunes avec les anciens. Il adressa ses remerciements à la municipalité, à l’auditoire, qui avait répondu à son appel, à l’orchestre, aux artistes, à ses dévoués collaborateurs et en particulier au lieutenant Cambret ; à M.Rousseau pour son éclairage ; à M.Poirrier pour les programmes, en un mot à tous ceux qui ont plus ou moins contribué à rehausser l’éclat de la soirée.

Enfin, le colonel avoua que si la restauration de la salle de la Renaissance lui était sujet de vive satisfaction, elle lui était également sujet de dettes et que pour les… combler, il s’adressait à la générosité de la salle ; il annonça que de gracieuses quêteuses allaient passer, non avec le plateau traditionnel, mais avec de grandes chéchias, « afin, disait-il, de mieux vider les poches ».

La quête fut faite par M.Labrousse, assistée du capitaine Bourdillat, du 4ème zouaves et par Mlle S.Meyer, conduite par le capitaine Delanoie, du 26ème chasseurs. Peu après, le colonel Leduc annonçait avec émotion que la quête avait produit 283 francs, et il remercia l’auditoire de sa générosité.

Remarqué au hasard, à la sortie de l’entracte : MM. Et Mme Sergent, E.Chagot, Aubry, Léon Pasquet, E.Rat, Liard, C.David, M. L’Abbé Bord, Mmes Cochin, Lamy, Langlois, Bridant, Meyer ; MM.Tazé, Georges et René Poirrier, Malle, E.Dupré, Ch.Bruneau, E.Hommier, Georges Jumel, Boudard, etc., etc., de nombreux officiers de tous grades et leurs familles.

Cette charmante soirée se termina par une intéressante séance cinématographique et il était minuit et demi quand se baissa le rideau.

Pour terminer, disons que depuis le 14 Mars, plusieurs séances du même programme ont été données aux troupes du centre d’instruction de Milly.

Paru dans "Milly dans la tourmente" (pages 89 et 90)

Carte Postale de 1915

Texte publié par l'ABEILLE D’ÉTAMPES en 1911

Publicité de 1909

Texte publié par
l'Abeille d’Étampes en 1909 

Entre 1909 et le début des années 1920, "LE CAFÉ DE LA RENAISSANCE" est tenu par Gustave VILLETTE et son épouse Léa LOYER. Comme l'acte notarié ci-dessous l'atteste, la famille VILLETTE a acheté ce fond de commerce en mars 1909 à Paul FOSSARD et son épouse Isabelle VILPELLE.

Acte notarié du 27 mars 1909

Article de l'Abeille d’Étampes de 1909

Carte Postale de 1907

Paul FOSSARD  auraient succédé à Auguste MOREAU et son épouse Eugénie TANNE après 1907.

Article de 1907 de l'Abeille d’Étampes 
Théâtre chez M. MOREAU au "CAFÉ DE LA RENAISSANCE"

Carte Postale d'avant 1904

Vente aux enchères publiques de Tableaux 
qui a eu lieu dans la salle de la Renaissance
 (Café DUPRÉ) en décembre 1902 

En 1901, ce sont Eugène DUPRÉ et son épouse Eugénie THEVENIN qui ont été recensés comme cafetiers au "CAFÉ DE LA RENAISSANCE"


Article de l'Abeille d’Étampes de 1897. 
Eugène DUPRÉ tenait le café de la Renaissance 
avec une salle dédiée au théâtre

Texte publié en 1895 par l'Abeille d’Étampes

D'après l'article de l'Abeille d’Étampes ci-dessous de 1894, Eugène DUPRÉ aurait fait construire et aménager la salle de théâtre devenue par la suite une salle de concert et bal puis de cinéma. 

Article de l'Abeille d’Étampes de 1894. 

Eugène DUPRÉ aurait repris l'affaire des limonadiers et charrons Louis DELACOURCELLE et son épouse Geneviève ANDRÉ entre 1861 et 1866. D'après les recensements effectués entre 1836 à 1861, Louis DELACOURCELLES était charron. Il a été recensé pour la première fois comme charron et limonadier en 1846.


Nous sommes à la recherche de tous nouveaux documents, Publicités, Photos, Cartes Postales, factures, vieux papiers se rapportant de près ou de loin aux commerces de Milly-la-Forêt.

Bruno DEROUIN 
Tel : 06 10 54 22 85
E-mail : derouin.bruno@yahoo.com